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20 nouveautés signées Saint Mamet

Après avoir lancé une quarantaine de références en 2016, le spécialiste des fruits en conserve annonce l’arrivée d’une vingtaine de références additionnelles en novembre.

Fervent défenseur du « modèle Zara » appliqué au secteur de l’alimentaire, Matthieu Lambeaux, le directeur général de Saint Mamet, prône un renouvellement intense de l’offre via des innovations de rupture. Une stratégie gagnante. En un an, les comptes de Saint Mamet sont passés du rouge au vert. Sur le dernier trimestre, la marque affiche une croissance en valeur de 7,5 % sur le segment des fruits en morceaux et même de 15 % sur le dernier mois (données IRI au 111/9/2016) « En trois ans, nous allons métamorphoser ce marché avec des produits uniques au monde », promet le dirigeant. La marque lance notamment des coupelles individuelles de salades de fruits dont les recettes s’inspirent de cocktails à succès : Mojito Mix mélange des morceaux de pommes et de poires à un jus de fruits associant menthe et citron vert ; Coco Mix marie de l’ananas à du lait de coco façon pina colada. « Ce type de produits en coupelles va nous permettre de continuer à rajeunir notre cible en recrutant auprès des quadras », explique Joël Derrien, le directeur marketing de Saint Mamet.

Une offre inédite en compotes

Mais c’est sur le marché de la compote que la marque appuie le plus sur l’accélérateur avec une vague de lancements innovants. « Il s’agit de faire bouger les lignes en créant de la demande avec des produits parfaitement ciblés », souligne Matthieu Lambeaux. Pour les plus jeunes (6-10 ans), la marque bouscule le segment des gourdes en misant, à l’instar du marché des confiseries, sur le goût acidulé avec Fruits Atomixés, une gourde de compote pomme-fraise Kipik de 90 g. A destination des ados, elle propose une nouvelle solution snacking avec Ze Compot’, des compotes à boire en petites bouteilles de 250 ml. Les recettes ont été travaillées pour offrir une texture veloutée, plus liquide qu’une compote traditionnelle. « Ce mode de consommation correspond aux codes des adolescents, rebutés par le côté enfantin de la gourde. Le grammage plus important correspond à 3 portions de fruits », souligne Joël Terrien. La gamme a été travaillée avec une base de pommes pour offrir un prix attractif. Elle se compose de 3 recettes (pack de 4 unités pour un PVC de 2,95 euros). Pour les femmes, Saint Mamet décline son offre dans une version sans sucres ajoutés, FruiTMix, soutenue par le médecin nutritionniste Jean-Michel Cohen. « Ce dessert fruitier est très intéressant parce qu’il contient des fibres et peu de sucres. C’est un vrai produit de collation, apte à apporter de la satiété. Le conditionnement est pratique parce que nomade et refermable », détaille-t-il.

Première compote en brique

Saint Mamet innove également sur le segment des compotes familiales, dominé par les pots verre, avec une compote veloutée proposée dans un format brique Tetra Pak avec bouchon. « Il faut arrêter l’hémorragie de recettes et se concentrer sur des innovations qui apportent de la valorisation au marché », martèle Matthieu Lambeaux. Moderne, facile à manipuler et incassable, ce nouveau conditionnement va apporter un coup de fraîcheur au rayon. Avec ces lancements, la marque, qui détient pour le moment 2,5 % de parts du marché de la compote, espère monter jusqu’à 10 % en faisant croître la catégorie. Ces nouveaux produits seront fabriqués par Conserve Italia, l’ancien propriétaire de St Mamet, racheté en octobre 2015 par Florac.

D’autre part, l’entreprise annonce avoir signé un partenariat avec le numéro un de l’ananas afin d’assurer ses approvisionnements. Elle a également démarré un plan de replantation de ses vergers pour atteindre 30 % de bio à l’horizon 2021 en poires, pêches et cerises. Enfin, la marque a revu ses packs, lesquels mettent en avant l’origine de ses produits. « Nous sommes la seule marque à vendre des produits français tracés dans nos vergers », indique Matthieu Lambeaux.

Par Sabrine Moressa

Rédacteur(rice) magazine et web

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