Monoprix, leader du commerce de centre-ville, a réalisé avec l’Institut CSA une étude portant sur les rapports qu’entretiennent les citadins avec le commerce de proximité.
Selon une étude menée par l’institut CSA pour Monoprix, le commerce de proximité est perçu comme un moteur de développement économique et de lien social par les personnes citadines. L’enquête, menée auprès d’habitants de communes de 50 000 habitants et plus, révèle ainsi que pour 57% des personnes interrogées, le développement économique est le principal apport du commerce en ville. Et pour 42 %, il est davantage créateur de lien social. De plus, les supermarchés de quartier, à l’instar du marché, du commerçant de quartier, ou des courses par Internet seraient associés à des à des moments de plaisir contrairement aux hypermarchés et au hard discount, davantage perçus comme des contraintes. En effet, « 48 % des citadins vont davantage dans leur supermarché de quartier par plaisir que par contrainte (42 %) ».En ce qui concerne ce type de distribution, la proximité géographique (66 %) et le rapport qualité-prix (62 %) constituent une priorité pour les personnes interrogées, et devancent les horaires d’ouverture larges (32 %), la qualité de la relation avec le personnel (42 %) et la diversité de l’offre (alimentaire et non alimentaire, 38 %). Pour l’avenir, « l’engagement avec les producteurs locaux est, pour les citadins, l’élément numéro 1 à développer demain. En effet, cela est prioritaire pour 55% d’entre eux. Par ailleurs, afficher le mieux possible l’impact environnemental de chaque produit arrive en 2e position avec 38 % des citadins favorable à ce type d’affichage », selon les résultats de la même enquête.