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Daunat change pour un positionnement multi-catégories

Daunat, le numéro un du sandwich en France a présenté ses innovations de 2015. Son ambition : se développer sur tout le marché du snacking.

Ce 1er avril, Daunat lance de nouvelles gammes de snack. Et il y en a pour tous les goûts, et surtout, toutes les cibles. D’abord avec un lancement sur le marché de la salade déclinée en trois gammes. L’une avec une base simple de salade de cinq recettes différentes. Une deuxième à base de pâtes ; pour ceux qui ont besoin d’un peu de consistance. Mais également la gamme « 123 salade », six salades à composer selon les envies. D’un côté des pâtes, de l’autre les protéines, à réchauffer ou non. Au centre, de jeunes pousses de mâche et des crudités. Avec cette entrée dans le monde de la salade, Daunat diversifie son offre pour atteindre tant bien les femmes, que les hommes.

Les wraps, un segment créé par Daunat et qui a progressé de plus de 27% en 2014 selon les chiffres de la marque, lance des recettes « ethniques » : du poulet rôti à la graine de sésame ou sauce pesto. Après les bagels (chez Daunature, qui appuie sur la dimension santé), Daunat continue à miser sur les tendances culinaires, dans le but de concrètement se différencier. Elle développe ses « navettes », petits sandwichs un pain goût bretzel, avec deux recettes. Entre les médaillons de poulet rôti et la chiffonnade de jambon, les produits utilisés sont de gamme résolument supérieure.

Pour finir, le dessert, avec là aussi un lancement sur un marché nouveau pour Daunat. Au menu, quatre parts de gâteau accompagnées de leur petite serviette en papier et d’une fourchette, de la plus-value intelligente et inédite dans le snack sucré. Chaque recette détient sa petite touche de différenciation : des noisettes caramélisées avec le fondant, du flan pâtissier aux œufs frais, une tarte aux pommes agrémentée d’une touche de cassonade et une tarte au citron jaunes… de Sicile. Il y a un réel potentiel de volume, souligne la marque, vu que 4 français sur 5 finissent leur repas par un dessert, et qu’en GMS, 1/3 des achats sandwichs sont couplés d’un dessert.

Par Sabrine Moressa

Rédacteur(rice) magazine et web

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