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Delpierre, une année 2016 pleine de surprises

Présent sur deux rayons en GMS (Traiteur de la mer pour 40 % de son activité etMarée LS pour 40 %), Delpierre (220 millions d’euros de chiffre d’affaires, + 12 %/ en 2015) a, cette année, fait le choix de beaucoup plus innover. Sa mission : être poissonnier traiteur au rayon frais et aider les Français à consommer davantage de poissons et produits.

« Faciliter la préparation des produits de la mer pour donner envie aux consommateurs

d’en utiliser chez eux, tel est ce que nous proposons au rayon marée LS », annonce Stéphanie Pargade, directrice marketing et R&D de Delpierre. Les Français amateurs de poisson le consomment dès qu’ils l’achètent mais ne le stockent pas. Les trois quarts d’entre eux ont d’ailleurs toujours affirmé être intéressés par des filets de poissons frais et nature présentés dans un emballage qui les conservent. Face à ce constat, Delpierre a donc lancé, en octobre 2015, une gamme de poissons frais et bruts (en filets ou entiers), en emballage de type skin transparent « pour donner envie ». Une gamme qui connaît déjà un grand succès puisque, en 6 mois, plus de 1 millions de Français l’ont déjà achetée. Sans conservateur ni sel, ces poissons se conservent 12 jours au lieu de 6, en gardant toutes leurs qualités. Une DLC obtenue grâce à un procédé de stérilisation déjà présent dans le groupe-mère, la haute-pression. Initialement composée de bar (190 g, PVC recommandé de 6,95€), de cabillaud entier (200 g, 4,50 €) et dos (325 g, 8,90 €), de maquereau (295 g, 4,95€) et de rouget barbet cinnabare (190 g, 6,95 €), cette offre sera complétée d’églefin (180 g, 5 €) en octobre prochain.

Des préparations simples au rayon traiteur
« Les consommateurs ont aussi besoin qu’on les aide à réaliser des préparations simples », ajoute Stéphanie Pargade. « Pour la première fois, nous leur proposons des poissons panés et des plats cuisinés, que nous avons voulus très qualitatifs. Au rayon traiteur de la mer, Delpierre lance ainsi des poissons panés « bons, beaux, frais et crus » pour les « fins gourmets adultes », « Les Milanaises de poisson ». A poëler 4 ou 6 minutes, les filets de poissons (200 g) sont enrobés d’une chapelure très croustillante, faite de polenta, aromatisée de ciron et de persil. Deux recettes sont disponibles : cabillaud (6 €), qui n’existait qu’en surgelé, et saumon (5 €), totalement inédit sur le marché des poissons panés qui, jusqu’alors, ne proposait que du poisson blan. Delpierre se lance aussi dans les plats cuisinés (en format 600 g, pour 2 personnes, prêts en 3 ou 5 minutes) avec les recettes « coeur de marché » : Brandade de morue parmentière (5,95 €), Gratin de saumon pommes de terre et petits légumes (6,50 €), Risotto aux 2 saumons champignon parmesan (6,95 €) et Risotto aux crevettes parmesan basilica (6,95 €). Dosés à chaud, ces plats cuisinés ont une DLC de 8 à 10 jours. La marque, qui souhaite challenger le leader de la brandade de morue, la Maison Briaud, vise un minimum de 200 tonnes en 1 an et de 1 000 tonnes en 4 ans.

Engagements et communication
Donner envie, c’est aussi faire savoir haut et fort que l’on a préparé de bons produits de la mer pour en faciliter la consommation. Delpierre communique, pour la première fois, en TV. Ce mois de juillet dernier, la marque a proposé deux petits films où elle met en scène la « frayeur » du consommateur à l’idée de devoir préparer un poisson ou une crevette. Un message qui, du 11 au 31 juillet, aura touché 55 millions de contacts. Et, « parce que 83 % des Français se disent intéressés par une garantie de qualité sur l’élevage de poisons, Delpierre a initié une démarche Aquaculture Raisonnée sur le saumon », conclut Philippe Darthenucq, directeur-général. « Le choix du référentiel s’est porté sur celui de DNV-GL, un organisme indépendant de certification et decontrôle. Mais nous y avons apporté deux spécificités : une démarche de responsabilité sociétale pour l’entreprise et une démarche durable ». Deux références de saumon fumé sont ainsi déjà labellisées : Ecosse et Norvège. Ces produits sont donc issus de saumon nourris sans OGM (<0,9 %, selon la norme en vigueur), élevés dans le respect du bien-être animal avec une maîtrise des impacts sur le milieu naturel.

Quelles attentes ont les consommateurs ?
Pour connaître très précisément les attentes consommateurs vis-à-vis des produits aquatiques, Delpierre a commandité une étude qualitative auprès d’Ipsos Observer (1 000 personnes interviewées en mai 2016).

  • 97 % des personnes interviewées reconnaissent que les produits aquatiques sont bons pour la santé.
  • 97 %, qu’ils ont bon goût quand ils sont bien cuisinés.
  • 96 %, qu’il est important d’en faire consommer aux enfants.
  • 94 % déclarent vouloir consommer plus de poissons.
  • 62 % en consomment au moins une fois par semaine.
  • 65 % affirment savoir les cuisiner et prendre le temps pour cela.
  • 88 % avouent réaliser toujours les mêmes recettes.
  • 60 % ont peur de tomber sur une arête.
  • 48 % hésitent à en manger de peur de mal les preparer.
  • 75% des français consomment le jour même le poisson frais qu’ils achètent.

Par Sabrine Moressa

Rédacteur(rice) magazine et web

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