Dans le cadre de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes célébrée le 25 novembre, Carrefour répond à l’appel du ministère chargé de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances, par la mise en place d’un partenariat avec la FNCIDFF, qui apporte son soutien à plus de 45 000 femmes en France.
Ce partenariat sera mis en oeuvre dès janvier 2023 et s’articule autour de 4 grands axes :
- Créer des liens entre les magasins Carrefour et les antennes locales de la fédération afin de permettre un maillage territorial au plus près des besoins des femmes victimes de violences ;
- Organiser des journées de découverte de nos métiers pour les personnes prises en charge par la fédération, ainsi que des périodes de mise en situation professionnelle permettant de découvrir un métier et valider un projet professionnel ;
- Organiser un processus de recrutement ad hoc géré au niveau du siège de Carrefour, pour s’assurer que les candidatures issues de la fédération soient traitées avec une attention particulière ;
- Communiquer sur les actions et le réseau de la fédération dans nos magasins.
«Carrefour, enseigne engagée de longue date dans la lutte contre les violences faites aux femmes, a décidé cette année de se mobiliser sur une action supplémentaire, qui est de faciliter le retour à l’emploi des femmes victimes de violence. Carrefour est l’un des premiers employeurs privés de France, avec une grande diversité de métiers, et encore plus que d’autres, nous pouvons offrir des opportunités de travail aux femmes victimes de violence et qui veulent reprendre un emploi. C’est ensemble, entreprises, associations, pouvoirs publics, que nous pouvons faire la différence sur ce grand sujet de société»;, Carine Kraus, Directrice Executive de l’Engagement du Groupe Carrefour.
» Face aux violences faites aux femmes, nous devons ne rien laisser passer. La lutte contre ce fléau nous concerne tous et doit mobiliser l’ensemble de notre société. Je me réjouis dès lors de l’engagement du Groupe Carrefour, déjà très investi sur cet enjeu, et du partenariat d’ampleur noué aujourd’hui avec la FNCIDFF, au service des femmes victimes de violences. C’est à travers ce type d’actions concrètes, réunissant associations et entreprises, que nous parviendrons collectivement à enrayer le fléau des violences.«, Isabelle Lonvis-Rome, ministre déléguée auprès de la Première ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances.
Danielle Bousquet, présidente de la FNCIDFF, déclare » Ce partenariat entre Carrefour et la Fédération nationale des 97 centres d’information sur les droits des femmes et des familles permet d’ouvrir des perspectives d’insertion professionnelle supplémentaires pour les femmes que nous accompagnons dans nos centres sur tout le territoire. Ce partenariat permettra aussi la mise en place de relais supplémentaires de notre communication auprès des femmes dans le champ de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles. «
Carrefour, acteur engagé dans la lutte contre les violences faites aux femmes
Carrefour se tient aux côtés des femmes victimes de violences conjugales depuis de nombreuses années. L’enseigne est engagée aux titres de plusieurs partenariats :
- ONU Femmes France dont Carrefour a signé la charte WEPS (Women Empowerment Principles) dès 2013 et que l’enseigne soutient financièrement grâce à l’action Orange Day*
- La Fédération Nationale Solidarité Femme avec laquelle nous avons pu sensibiliser plus de 200 collaborateurs Carrefour au phénomène des violences conjugales et pour laquelle Carrefour relaie le 3919, numéro d’urgence d’aide aux victimes sur ses tickets remis en caisse (plus d’1,2 Millions de tickets ont été imprimés lors de l’Orange day 2021)
- Par le biais d’accord collectif de groupe pour la France et à l’International au travers de l’Accord Uni Global Union
*Orange Day : opération qui s’est déroulée les 18, 19 et 20 novembre et qui consiste à reverser 50 centimes pour tout achat de 2 kg d’oranges, signalés en magasin. L’année dernière plus de 12 000 euros avaient été récoltés.
