Depuis plus de 35 ans, E.Leclerc s’engage pour rendre la santé accessible à tous. L’enseigne, pionnière dans la démocratisation des produits de parapharmacie, propose aujourd’hui une réflexion sur l’ouverture de ses espaces à la vente de médicaments sans ordonnance. Une récente enquête menée par son Observatoire des Nouvelles Consommations, en partenariat avec Ipsos, révèle que 74 % des Français soutiennent cette initiative. Face à des infrastructures de santé jugées insuffisantes et à des coûts prohibitifs, 70 % des sondés se disent prêts à acheter des médicaments sans ordonnance en grande surface, avec l’accompagnement de pharmaciens.
Pour les consommateurs, l’intégration de ces produits dans les grandes surfaces répond à plusieurs attentes : améliorer l’accès aux soins (73 %), offrir des solutions dans les déserts médicaux (75 %), et soutenir le pouvoir d’achat (59 %). Ces chiffres confirment une tendance forte : les Français cherchent des solutions pratiques et économiques pour se soigner au quotidien. « Il est désormais normal d’acheter des compléments alimentaires ou des tests médicaux en parapharmacie« , rappelle l’enseigne, qui rappelle son rôle historique dans la lutte contre le monopole des officines depuis l’ouverture de sa première parapharmacie en 1989 à Poitiers.
Des besoins croissants face à des contraintes multiples
L’étude d’Ipsos met également en lumière des renoncements fréquents aux soins : 45 % des Français citent des raisons financières, tandis que 20 % dénoncent des horaires inadaptés des pharmacies. Près de la moitié (43 %) estime que leur santé s’est détériorée ces cinq dernières années, une tendance aggravée par des défis d’accessibilité et des prix élevés.
Avec l’appui de son Observatoire, E.Leclerc envisage de transformer ses espaces de distribution pour répondre aux attentes des consommateurs, tout en continuant à protéger leur pouvoir d’achat. Une vision en phase avec son engagement historique et les besoins évolutifs des Français.