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L’Héritier-Guyot réveille les crèmes de fruits

Tournées vers l’heure de l’apéritif et complices des amateurs de cocktails, les crèmes de fruits L’Héritier-Guyot s’enrichissent cette année d’une nouvelle venue, la crème de mangue.

Cette crème de fruits à la belle robe jaune et à l’exotisme prononcé s’associe à du vin blanc, tranquille ou effervescent.

Les notes douces sucrées et ensoleillées de ce fruit velouté se marient parfaitement à l’onctuosité naturelle de la crème de fruits. Son élaboration reste fidèle à la technique mise au point par le fondateur Louis-Baptiste L’Héritier.

Pour retranscrire au mieux le goût des fruits et offrir des produits de qualité qui feront la réputation de la maison, il invente la technique du sucrage à froid qui permet de conserver toutes les qualités gustatives des fruits.

La maison créée en 1845 à Dijon, aujourd’hui dans le giron du groupe Bardinet, mène un travail de fond pour valoriser ce petit marché de 55 millions d’euros ( + 1,7 % en 2012) et soutenir des ventes qui s’érodent en volume.

En tant que marque nationale détenant 20 % de part de marché volume, loin devant son premier concurrent sur ce marché cependant dominé par les MDD, la maison L’Héritier-Guyot s’attache à réveiller l’intérêt de nouveaux consommateurs.

Pour cela, elle lance régulièrement de nouveaux parfums afin d’élargir le champs des possibilités en matière de cocktails avec ses crèmes de fruit à la qualité bien établie.

L’appellation crème de fruits correspond en effet, à une charte précise. De consistance sirupeuse de par leur haute teneur en sucre (minimum 250 grammes par litre), elles sont élaborées à base d’esprits (distillation de fruits) ou d’infusions (macération de fruits) avec un titre alcoométrique minimal de 15° volume. La réglementation impose des contraintes encore plus rigoureuses, dont l’obligation d’élaborer le produit sur le territoire de la commune de Dijon, en Bourgogne, pour la crème de cassis, produit emblématique qui répond à une IGP.

Grâce à son savoir-faire ancestral, la maison L’Héritier-Guyot est au premier rang des producteurs de crème de cassis.

Si l’image du kir est aujourd’hui un peu empoussiérée, il n’en reste pas moins qu’il peut revendiquer un lien direct avec les vins aromatisés qui, aujourd’hui, ont la cote. L’Héritier-Guyot mène un travail de fond pour s’inscrire à sa manière dans cette tendance et susciter d’autres envies de mariages faiblement alcoolisés, frais, sucrés et accessibles à partir de sa gamme complète de 9 références de crèmes de fruits, prônant d’autres associations, avec des vins, en cocktails ou en cuisine.

Pour rajeunir l’image sympathique mais un peu vieillotte de la crème de Cassis de Dijon, qui représente toujours environ 70 % des ventes de crèmes de fruits, la marque mène en ce moment et jusqu’en juillet, une campagne dans la presse féminine grand public. Elle fera aussi une place à l’association crème de pamplemousse et vin rosé.

Par Sabrine Moressa

Rédacteur(rice) magazine et web

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