Brocéliande passe au sans antibiotique dès la naissance
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Jusqu'ici, l'absence d'antibiotiques était garantie dès la fin du sevrage et non pas dès la naissance. Une démarche qui a nécessité 18 mois de tests sur 200 000 cochons et la mise en place d'un nouveau cahier des charges, incluant notamment la non castration des porcs, ce qui permet de réduire le risque de maladie et d'infection, le sevrage progressif des porcelets, » protégés « par le lait maternel, ou encore l'utilisation de boucles d'oreilles connectées posées dès la naissance sur l'oreille des porcelets. Cette technologie permet au producteur de suivre au plus près le bien-être de l'animal et d'intervenir le plus tôt possible si besoin, les porcs étant soignés prioritairement avec des solutions alternatives (phytothérapie, antalgiques...). Parallèlement, la gamme Bien Elevé, qui compte une trentaine de références, s'enrichit en…
Brocéliande toujours Bien Elevé !
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En effet, la marque des éleveurs Brocéliande élargit sa gamme issue de la filière « Bien Elevé » (porc 100 % français élevés sans antibiotiques dès la fin du sevrage et nourris sans OGM) avec 7 nouveautés : . 3 saucissons : La Fine, une saucisse droite et sèche de qualité supérieure (150 g ; PVC : 3,29 euros) ; Le Caractère, un saucisson sec court au goût légèrement corsé (200 g ; PVC : 4,19 euros) ; La Sélection, une spécialité de saucisse sèche 100 % jambon ne contenant que 5 % de MG (200 g ; PVC : 4,65 euros). . 2 aides-culinaires : des Petits Dés dorés à réchauffer ou à consommer froids proposés nature ou cuisinés à la moutarde ou au curry/coco ; des Effilochés cuits…
Brocéliande : l’apéro bien élevé
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Les nouvelles chiffonnades de rosette nature ou aux herbes, de coppa ou de chorizo, sont réalisées à partir de viande maigre que l'on saisit du bout des doigts. Pratique, le pack intègre une barquette noire élégante (forme brevetée) à poser directement sur la table. Barquettes de 16 tranches ; PVC recommandé : 3,95 euros. Parallèlement, s'appuyant sur le dynamisme des produits à taux de sel réduit (+ 18 % de ventes l'an dernier sur le jambon), la marque décline désormais son jambon Bien Elevé (2 T et 4 T) et ses lardons Bien Elevés fumés (2 x 75 g) avec une teneur en sel réduite (- 25 % de sel).
Nouveaux effilochés signés Brocéliande
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Elle accueille deux nouveautés d'effilochés destinés à répondre aux besoins des jeunes foyers : Pullet pork Classic et Pullet pork Barbecue (réchauffage possible en 1 minute au micro-ondes). Ces aides culinaires élaborées à partir de viande de porc, cuits longuement dans un bouillon et agrémentés d'une juste dose de sauce permettent de varier, rapidement et simplement, tous les plats du quotidien, ptes, burgers, wraps, salades, bagels... PVC recommandé : 3,90 euros le sachet (4 portions).
Le Jambon bien élevé arrive en 6 tranches
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Brocéliande sort un nouveau format, familial et économique, que les consommateurs trouveront fin mai en magasin. Un segment stratégique, puisque 20% des ventes de jambon en France y sont recensées. La marque d'éleveur est encouragée par un fort de rachat de ses produits. Des jambons issus de porcs 100% français, élevés dans des conditions confortables, sans antibiotiques dès la fin du sevrage et nourris sans OGM. De quoi rassurer des consommateurs de plus en plus soucieux de la qualité des produits qu'ils achètent. Selon une étude QualiQuanti, la mention « élevé sans antibiotique » est jugée très importante par 53% des acheteurs réguliers de jambon et assez importante par 30%. Le pack de 6 tranches est proposé au prix indicatif de 3,95 € TTC.
Les unités de production bretonnes d’Agromousquetaires recrutent sur les routes de Bretagne : près de 300 postes sont à pourvoir !
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Un tour de Bretagne inédit : près de 300 postes à pourvoir Les équipes d'Agromousquetaires innovent et proposent une opération de recrutement originale avec, comme principal atout, un » job truck «. Ce camion itinérant ira à la rencontre des candidats sur des sites stratégiques tels que les parkings d'Intermarché et les centres-villes durant une tournée de deux semaines à travers toute la Bretagne. Cette initiative permet un recrutement agile, efficace et de proximité du fait de l'accès facilité à la rencontre entre employeur et candidats, aux entretiens qui seront réalisés sur place et de la diffusion de l'information au coeur du territoire. Du 27 avril au 11 mai, les équipes d'Agromousquetaires accueilleront donc les candidats pour leur faire découvrir les opportunités d'emplois à saisir près de chez eux :…
Pour le Groupement Les Mousquetaires, 2020 aura été une année d’accélération !
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Pour Didier Duhaupand, président du Groupement Les Mousquetaires, » Année exceptionnelle, 2020 se caractérise, pour les enseignes Mousquetaires, par une accélération inédite. Au-delà de la redécouverte de l'utilité sociale de la distribution, de nombreuses dynamiques se sont précipitées au cours de l'année, à un rythme inimaginable il y a encore un an : remarquables progressions du e-commerce, attachement renforcé au local et aux valeurs de proximité, exigences accrues concernant la RSE, attentes renouvelées sur le pouvoir d'achat... Dans tous ces domaines, et au-delà de la manière dont nos enseignes ont su faire face à la situation sanitaire, les chefs d'entreprise Mousquetaires ont accéléré le travail de fond engagé depuis plusieurs années, avec agilité et solidarité. La prise de part de marché de nos enseignes alimentaires et d'équipement de la maison,…
Bien élevé : charcuterie sans antibiotiques et sans OGM
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Jambon sec affiné 7 mois (6 T, soit 100 g, PVC : 3,30 euros) Bacon fumé au bois de hêtre fabriqué à partir de fil de porc (10 T, soit 100 g ; PVC : 2,60 euros) Chorizo doux, séché 8 semaines minimum (10 T, 100 g ; PVC : 2,60 euros).
Les charcuteries-salaisons dopées par le hors domicile
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A l'occasion des Assises annuelles de la charcuterie fin juin, le président de la FICT (Fédération française des industriels charcutiers, traiteurs, transformateurs de viandes), Robert Volut, a présenté le bilan économique du secteur. Lequel redresse la tête. L'an dernier, le chiffre d'affaires des entreprises a progressé de + 0,5 %, atteignant 5,8 milliards d'euros (6,4 milliards si l'on tient compte des plats traiteur à base de viande), grâce à une production en hausse de 0,8 % (un million de tonnes). « L'hémorragie des emplois a été stoppée et le niveau des investissements s'est stabilisé aux alentours de 200 millions d'euros. Les industriels ont bénéficié du dynamisme de la consommation et d'une détente sur le prix d'achat des matières premières, notamment des pièces de découpe. Mais les cours sont à nouveau…
Un marché de l’œuf toujours en croissance
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La crise économique de 2009, qui s'est poursuivie en s'estompant les trois années suivantes, continue à avoir des effets favorables sur le marché des œufs. Selon IRI, les volumes commercialisés en grande distribution, sur l'année, ont progressé de 1,4 % (à 4,5 milliards d'œufs), alors que les valeurs restaient plutôt stables à – 0,3 % (à 914 M€) (HM + SM, CAM, à mars 2015). Le « fait maison » n'est plus sur le retour, mais reste une tendance de fond. Et l'œuf reste toujours la protéine animale la moins chère. Preuve de bonne santé du marché de l'œuf, l'arrivée d'un nouvel acteur, Brocéliande, dont le territoire devrait d'abord être régional. Dans l'ensemble de l'offre, les œufs Bio (11,5 % des parts de marché volume) connaissent la plus forte croissance…